Juniper

Les mecs en noir

Puisqu’on en parle, voici la liste de quelques MIBs nécessaires à l’utilisation d’OIDs “textuels” lors de l’interrogation via SNMP d’un Juniper J-Series, en particulier ceux relatifs à l’obtention d’informations sur le chassis et la pile BGP: mib-SNMPv2-SMI.txt mib-SNMPv2-TC.txt mib-jnx-bgpmib2.txt mib-jnx-chassis.txt mib-jnx-exp.txt mib-jnx-smi.txt mib-rfc2571.txt mib-rfc2575.txt mib-rfc2851.txt Ces derniers se téléchargent à partir de cette adresse. Afin de les utiliser avec snmpwalk, il vous suffira de les déposer dans le repertoire ${HOME}/.snmp/mibs de votre machine UNIX; il est alors possible d’interroger votre équipement de cette façon:

Wesh bien ou bien ?

Ça cause pas des masses ici hein… ouais ouais je sais, mais nan j’ai rien laché, je suis juste très accaparé par ma boite, beaucoup d’activité, beaucoup de clients, beaucoup de R&D. Difficile de trouver un instant libre ces temps cis. Je profite de ce long week end pour noter ici un boût de conf pour lequel j’ai mis quelques heures à rassembler les pièces. Comme vous vous en rappelez peut-être, ce sont des Juniper J2350 qui routent les paquets magiques de mon réseau pro, et comme l’activité s’accélère, je vais certainement passer au modèle supérieur, possiblement J6350 ou MX5, plus puissants, tant en terme de CPU que de quantité de mémoire.

Y'a moyen d's'amuser

Rien dans les manches, rien dans les poches : Hm, oui, et alors ? Attends, attends. Mouais, super, et ? atteeeeends fxp0 ?? comment ça fxp0 ?! Bah parce que : hAOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooon et ouais. La doc est ici, et contrairement à ce qu’on peut y lire, je fais tourner un JUNOS 9.3R3.8 (le fameux) sur une base de FreeBSD 6.4. Suivez scrupuleusement la documentation, en particulier les sections Modify jinstall file et Watchdog panic immediately after boot, cette dernière étant indispensable si vous souhaitez, comme moi, faire votre test sous des versions récentes de KVM.

Un peu de réseau... ou presque

Au boulot, ce sont des routeurs Juniper J2350 qui se chargent d’acheminer les lutins de l’internet vers nos équipements. Depuis quelques temps, les routeurs en question s’occuppent entre autres d’annoncer nos plages d’IPs grâce au protocole BGP. Si l’établissement des sessions eBGP avec nos fournisseurs d’accès n’a posé aucun problème, l’établissement de la session iBGP entre nos differents routeurs montrait une charge CPU, mais surtout une consommation mémoire anormales, jusqu’à provoquer recemment le crash de l’un d’entre eux.