iptables

mmmmm les bons spaghettis

Ça commence à sentir le vieux sac de lacets sur ma routing box. Pour rappel, j’utilise un domU NetBSD hébergé quelque part pour différencier mon traffic sortant. Ce domU est controllé par un dom0 Debian Squeeze, et a ceci de particulier que sa route par défaut part vers la suède. Seuls quelques services répondent directement sur l’IP publique “réelle”, sur laquelle j’opère du SNAT et du DNAT. Tout ceci manquait cruellement d’un soupçon d’IPv6.

Au feu, tournez à gauche

Pour des raisons évidentes, j’ai décidé de rendre un peu moins aisée (i.e. pas immédiate) la découverte de mon IP. Plus précisemment, pour certains protocoles et pour certaines machines, je veux que l’IP vue par mon/mes peers ne soit pas directement l’IP que mon fournisseur d’accès m’affecte. J’ajoute, mais cela n’a evidemment aucun rapport avec cet article, que certains pays intellectuellement plus développés ont recemment confirmé que le partage de fichiers sur le réseau n’était pas illégal sur leur sol.

Asterisk et NetBSD, une affaire qui roule

Contre toute attente, la migration de mon IPBX perso a été parfaitement sans douleur. Après l’installation de la toute dernière version d’Asterisk sur mon domU NetBSD à l’aide de pkgin (puisqu’aucune option particulière ne m’était nécessaire), je me suis souvenu d’un article que j’avais initialement écrit sur le site Freephonie.org, dans lequel j’expliquais les diverses manipulations pour monter un Asterisk fonctionnel derrière du NAT. Comme souvent, l’article a été peaufiné par quelques contributeurs, et son contenu est tout à fait valide pour la configuration d’un Asterisk 1.