OpenSolaris

Moar link.

Le NAS dont je vous entretenais recemment, comme un bon NAS qu’il est, effectue beaucoup de traffic sur le réseau privé d’hébergement. Il sert et il leeche à tout va; Or, ce gentil petit équipement est muni de deux cartes réseau Gigabit, et a la bonne idée d’être branché sur un switch lui aussi Gigabit… hmmm… et si ? Et si. Le switch en question ET l’OS en question, OpenSolaris, implémentent le protocole LACP (Link Aggregation Control Protocol), ou 802.

omnomnomnomnom

Au boulot, j’ai mis en place un NAS. À force de lire les louanges de ZFS, je me suis dit que c’était l’occasion idéale d’utiliser réellement ses capacités, et plus simplement comme “le filesystem de Solaris/OpenSolaris”. Nous sommes partis de l’hypothèse suivante : Nous utiliserons les fonctions RAID de ZFS, et non pas le RAID5 natif fourni par le controlleur du serveur de disques; en effet, après moult lectures, il apparait que le mode RAID-Z de ZFS est non seulement plus flexible, plus rapide, mais également plus sur (voir par exemple ici ou ici) La partition de boot/root fonctionnera, elle, en mode mirror et sera disponible sur tous les disques Le reste de la place disponible formera un pool raidz.

pkgin 0.3.0 dans ton wip

Pkgin 0.3.0 voit -enfin- le jour. Pas de changements fondamentaux dans le code de gestion d’install/upgrade mais plutot une tripotée de petits fixes issus d’utilisateurs-hackers autour du globe. Dans le désordre : . Basculement vers autoconf pour la génération du Makefile . Correction du bug d’affichage en console . Pas mal de fixes autour de la standardisation des variables . Le lookup du pkg_summary en bz2 ou gz est désormais automatique .

pkgsrc sur opensolaris, 64 bits et sunstudio 12

Pkgsrc sur OpenSolaris, c’est bien, mais des packages compilés en 64 bits avec Sun Studio, c’est quand même la grosse classe. Et parmi eux pkgin, evidemment :) Malheureusement, ce n’est pas une opération spécialement bien documentée, et surtout, elle nécessite une modification (en tout cas à ce jour) de mk/compilers/sunpro.mk. J’utiliserai /opt comme base pour l’installation du framework car cela semble être l’usage pour tous les utilisateurs chevronnés du binôme Solaris/pkgsrc.

OpenSolaris nfs client: "permission denied"

Petite astuce, ça evitera de chercher trop loin. J’ai constaté que, par defaut, mon desktop OpenSolaris ne parvenait pas à lister le contenu d’un serveur NFS situé sur une Debian GNU/Linux testing. Quelques recherches m’ont conduit sur ce thread ou l’on comprend que l’implémentation de NFSv4 n’est pas encore totalement synchro entre Linux et Solaris. Ainsi, il suffit de modifier la valeur de NFS_CLIENT_VERSMAX dans le fichier /etc/default/nfs sur le client OpenSolaris de cette façon :

OpènSölârïs et les locales

Parce que cela sera plus pratique, parce que ça fait un bail que j’y ai pas retouché, parce qu’il y a certaines technos que j’ai envie de vraiment manipuler et parce que j’aime bien varier les plaisirs, j’ai installé un desktop sous OpenSolaris 2009.06. L’installation étant devenue aussi triviale qu’une bête Ubuntu, je ne m’étendrai pas ici sur cet aspect. Il y a cependant un élément qui m’a donné du fil à retordre, un truc qui m’agace toujours autant, quel que soit l’UNIX, les locales et prises de tête connexes.